Le cubisme et la guerre
En 1917, Fernand Léger peint "La partie de carte" alors qu'il est à l'hôpital de Villepinte, les poumons brûlés par les gaz dans les tranchées.
"Les personnages, des poilus, sont ici des robots désarticulés, déshumanisés comme l'acier des casques et des obus."
Léger : "Il n'y a pas plus cubiste qu'une guerre comme celle-ci qui te divise plus ou moins proprement un bonhomme en plusieurs morceaux et qui te l'envoie aux quatres points cardinaux."
PS : Voir aussi : le cubisme et les militaires : http://chaffards.over-blog.com/article-representer-la-nature-le-cubisme-80449130.html